lundi 21 mars 2016

Recrudescence des crimes rituels au Gabon

Au Gabon,  à quelques mois des échéances électorales, les crimes rituels sont de plus en plus récurrents et impliquent directement le sommet de l’Etat.

Le conseiller spécial d'Ali Bongo Ondimba, Alfred Edmond Nziengui Madoungou est directement impliqué. Protégé par Ali Bongo et son directeur de cabinet Maixant Accrombessi, il se repend d'une immunité et donc d'une impunité du fait qu'il n'est que l'exécutant des basses oeuvres de ses chefs.

Les assassins sous ses ordres amputent à vif leurs victimes des organes notamment le sexe, le cœur, les reins, le foie, la langue ou les vident de leur sang.
Cette pratique horrible n'est pas certe née avec le régime Bongo Ondimba Ali, mais depuis 7 ans qu'il est au pouvoir, elle s'est accélérée et a atteint des proportions jamais égalées dans l'histoire du Gabon.

Les ONG, qui luttent contre ce fléau de crimes rituels estiment, toutes proportions gardées, en tenant compte des disparitions inexpliquées, des morts maquillées, des corps mutilés retrouvés, à plus d'une centaine de victimes par mois dans l'ensemble du pays.

Les enquêtes n’ont jamais abouti et les principaux commanditaires, pourtant identifiés et trahis par leurs exécutants courent toujours et sont tapis paisiblement à la présidence de la République devenue un lieu de perdition et de pratiques occultes.

Depuis qu'Ali Bonfo s'est installé au pouvoir avec son gourou béninois de la secte vodou, les pratiques de sorcellerie et les crimes rituels s’exercent au plus haut sommet de l’Etat.

La multiplication de sectes ésotériques à la présidence de la République et dans les cercles de pouvoir est encouragée par le duo diabolique Ali Bongo - Accrombessi. Lesquelles sectes ont des pratiques assez diverses de sorcellerie qui vont des meurtres rituels aux trafics d’organes humains.

L’idée étant que le fait de manger certains organes, permet de capter la puissance invisible du démon Vodoum, de se l’approprier et ensuite de se servir de cette puissance pour contrer ses ennemis; tout cela dans la lutte pour le contrôle et la conservation du pouvoir.

Cette croyance aberrante est très présente chez les adeptes de l'émergence et se manifeste par des disparitions inexpliquées ; des cadavres qu’on retrouve démembrés avec des organes qui manquent. C’est un moyen pour des hauts responsables du régime Ali BONGO pour garder ou essayer de garder un poste au sein de l’administration.

La mort mystérieuse de nombreuses personnalités gabonaises est encore aujourd’hui imputée à ce duo infernal. Quelques temps après la mort du «Père» Omar Bongo Ondimba des rumeurs ont fait état de la convoitise et de marchandage des parties de son corps pour asseoir le pouvoir du «fils».

De même, Ali Bongo qui a assassiné Joseph Redjambe,  Georges Rawiri, Pierre Mamboundou, Mba Obame et beaucoup d'autres gabonais pour acceder au pouvoir, a tout fait pour pouvoir disposer des corps de ses victimes aux fins des pratiques occultes. Toutes les preuves, tous les faits pour dire qui a assassiné qui existent, mais le pouvoir bloque toute action judiciaire.

Au Gabon, pour avoir un poste de responsabilité, accéder au pouvoir social et devenir riche, la voie connue de tous est celle des cercles mystico-magiques ou l'intronisation consiste à l'introduction: la pratique de la sodomie.

Cette introduction est suivie de la sorcellerie et des pratiques mystiques au plus haut niveau de l’Etat : selon des adeptes, boire tout frais du sang humain, pratiquer comme rituel de purification et d’allégeance l’homosexualité, engager en astral des combats nocturnes épiques et suicidaires sur des «avions-tapis volants», déguster de la chair humaine faisandée à l’étouffée, livrer en sacrifice à la confrérie et, tour à tour, le plus aimé de ses proches, organiser des messes vodou, très noires en couleur, pour défier le Dieu tout puissant entouré de sa cohorte de saints, pactiser avec Lucifer, le diable et les démons, forniquer avec des cadavres et des animaux, constituent les pratiques en cours dans ces sectes.

C'est la réalité qui fonde la pratique des crimes rituels. Pour y mettre fin il faut éradiquer la cause: l'impunité et l'imposture au sommet de l'État dont la plus tangible vérité est la présence de ce couple diabolique à la présidence de la République.


Alfred Edmond Nziengui Madoungou,
conseiller spécial Crimes rituels
de Bongo Ondimba Ali


L'assassin se repend'une immunité reposant sur le soutien
 de ses chefs Ali Bongo et Accrombessi


Ici un corps mutilé vide de son sang
de son coeur et d'autres organes


Ici un exécutant avec le produit de son travail


Une victime tuee et sodomisée post mortem


Une victime sujette à des rapports sexuels post mortem


Les animaux sont également au nombre des sacrifices




Leq rapports sexuels avec des animaux

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.